Je crois que plus on est ainsi finalement plus on est fragile à l'intérieur... Et plus l'armure semble dure et épaisse.

je n'avais pas encore lu ce texte!
honte à moi!

je suis rassuré à double titre : tu n\'as pas mal pris mon humour corrosif et tu arrives à commenter !

Merci, Tom ! Rassure toi, ton ironie m\'a fait sourire mais sûrement pas heurtée. Je suis touchée au contraire de ce que tu penses de moi. Non, on n\'est pas dans le même registre, heureusement, car où serait l\'intérêt...

Pas de soucis, tes commentaires sont de véritables pépites sur le site... Comme des poèmes de douces brises ! Justement, je pense que l\'on est pas dans le même registre et les mêmes plumes... Tu es descriptive,narrative, douce, apaisante et on sent dans tes textes une volonté de repos, de retour, de pouvoir figer des instants ou des émotions. De la mélancolie voire de romantisme.
Les miens, c\'est strictement l\'inverse, je cherche a décrire une pulsion, une émotion, une fractal, lui donner vie dans une construction, le texte est comme une église : chaque chose est à sa place. Selon un ORDRE précis qui s\'installe dans le texte.
Il est donc normal, sur ce texte, à un paroxysme de ce style que tu butes et ne soit pas réceptive naturellement, il n\'est pas naturel.
Mais j\'espère qu\'il dégage à la fois la souffrance, la douleur et l\'espoir que peut avoir l\'homme libre et sensible face à une indicible armure, à des choix, à la fatalité. Sans aucune résignation !
Merci encore donc pour tes commentaires et c\'est moi qui doit m\'excuser si mon ironie t\'a heurtée.