O Amour
O Amour
Tu es là si près…si loin…
Comme un feu brulant
Qui se consume lentement
A l’intérieur de mon être
Sans vouloir paraître
Chaque jour un bonheur
Mes pensées t’offre chaleur
Du fond de mes entrailles
Mon corps te réclame
Ton visage m’apparaît
Et tu disparais
O Amour
Tu es là si près …si loin
Tes mains si absentes
Et tellement présentent
Un souffle si chaud
Qui réchauffe les maux
Illusions de mes rêves ?
Tu ne laisse rien paraître
Libertin ou coquin ?
Ta place est dans mon sein
Je désire juste être
Sans vouloir te paraître
Et puis disparaître
Au détour d’un rêve
Marie
Février 2009