Méfiez-vous Ô peuplades , des élégances
Des vertigineux vertugadins, des véhémences
Et dénoncez - en bon petit soldat – ce gibier de potence !
Méfiez-vous Ô peuplades , des fards verdâtres
Des putains propres , peut-être même des paysannes
Et empêchez – pour le pays – la folie luxueuse des marâtres !
Méfiez-vous Ô peuplades , des séductions, des tentations
Des vénales vénéneuses et des vociférations
Et protégez -Si , si !- magot, or, rubis en sauvage lion !