par cette nuitée ,marquant le début de l automne, après les lumières du bal, dans l ombre tâtonne derrière moi le jour naissant chasse la nuit, pendant que toi, blotti dans ses bras, tu fuit a pas lent, près du banc, je m approche, se tissu de dentelle tombé de ta poche, je ramasse, m assoie,seul sur ce banc et l odeur enivrante de ce tissu blanc. est la seule présence qui me reste de toi. devant le vaisseau celenite, cri mon émoi, une larme perle et coule sur ma joue. tu est parti avec l homme au loup