Imprimer
Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus
Catégorie : vers libre
Affichages : 2544
Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives
 


Déesse du sommeil.

On se réfugie dans tes bras.

Où nous restons blottis jusqu’au réveil !

Tu remonte sur nos épaules le drap.

Nous accompagne dans nos songes.

Qui sont pur et sans mensonge !

Nous sommes bien dans ta sérénité fidèle.

Qui nous berce d’une douceur maternelle !

Oh ! Comme ton pouvoir et puissant !

Tu tien notre devenir et pourrait nous réduire à néanT ;

Parfois le démon du cauchemar.

Viens nous rendre visite nous harcèle par des visions noires.

Très vite tu t’insurge devant cet énergumène.

Tu le repousse au royaume des ombres couleur ébène.

Tu reste sur tes gardes comme un samouraï.

Près à repousser les peurs qui nous tenaillent.

Comme ta dextérité est admirable !

Ta fidélité incomparable.

Pauvre ères que nous sommes.

Impitoyable éveillé et vulnérable dans notre somme.

Quant au petit matin nos mirettes s’ouvrent !

Notre esprit encor en transe est agressé par la sonnerie du réveil.

Le chat sur le parquet titube engourdis par le sommeil.

D’un coup de patte sur et précis il ouvre la porte la pousse.

C’est là que notre bonne fée.

Se retire discrètement pour un repos mérité.

Les anges vulnérables que nous étions pendant la NUIT ;

Ce transcende en hêtres belliqueux et notre irresponsabilité s’épanouis.

Bernard Percez

du même auteur...