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Assis dans le noir, sur le sol,
Sale , de sa modeste baraque:
Adossé a son mur, il craque .
Une allumette s embrase,auréole,
Ses yeux qui s enflamment ,
Quand son âme se damne
Et l’obscurité, soudain s évanoui ,
Devant cette odeur acre d enfer.
Il n a pas gémis, brûle ses chaires;
Regard vague, vague a l âme, il ouie,
La complainte de sa peau ,le soulage.
Une dizaines déjà , jonchent le carrelage,
Et plusieurs constellations ,
Sur son bras on pris position
il maîtrise,parfaitement cette douleur.
La vrais ,est c elle qui vient de l intérieur
Il ne la voit pas ,mais il en sent les cicatrices ,
Profondes qui l immisce dans cet abysse.
Une étincelle jaillit , humeur de souffre;
Plus qu une tête rouge, il souffre
Il prend une profonde respiration
Suffoque; dernière illumination
Cette fois la lueur est plus forte
La flammèche grandi et escorte,
la nuit , que les pompiers ont mit;
Pour en éteindre l incendie
Une , n a pas survécu sans flamme
L autre , a périt dans les flammes
Mordue par le froid de l hiver
Dévoré ,par le feu de l enfer
Ainsi s achève ce jeu d allumettes russes
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Commentaires
On se laisse prendre au Jeu des allumettes...!
J'AIME CE STYLE PARFAIT!
ANONA
jolie texte merci
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