Je fais souvent ce rêve étrange
Et pénétrant, lancinant.
D'une femme inconnue,
Que j'aime, et qui m'aime,
Autre que ma mère
Dont je désespère.
Qui n'est, chaque fois,
Ni tout à fait la même
Ni tout à fait une autre,
Qui m'aime et comprend.
Mon coeur transparent
Je ne me plains pas de ces catins
Qui m'ont dit je t'aime
Me laissant en peine
Dés le matin blême
Pour elle seule, hélas!
Cela Cesse d'être un problème
Pour elle seule,
Les moiteurs de mon front blême,
Sur eux le calme amène.
Elles mêmes qui gâche
Le métier de putains
Avec le même entrain
Mais Pratiquant pour rien.
Je me mets à rêver
Faute de déseperé
A t'elle un nom
Je ne le sais
Il doit être doux à aimer
Comme le prénom
De ceux qui ont souffert d'aimer.
Doux regard glacé
Comme celui des statues
Que la vie a glacé
Ce quatorze février
Rdessauvages 14.02.2008
Et pénétrant, lancinant.
D'une femme inconnue,
Que j'aime, et qui m'aime,
Autre que ma mère
Dont je désespère.
Qui n'est, chaque fois,
Ni tout à fait la même
Ni tout à fait une autre,
Qui m'aime et comprend.
Mon coeur transparent
Je ne me plains pas de ces catins
Qui m'ont dit je t'aime
Me laissant en peine
Dés le matin blême
Pour elle seule, hélas!
Cela Cesse d'être un problème
Pour elle seule,
Les moiteurs de mon front blême,
Sur eux le calme amène.
Elles mêmes qui gâche
Le métier de putains
Avec le même entrain
Mais Pratiquant pour rien.
Je me mets à rêver
Faute de déseperé
A t'elle un nom
Je ne le sais
Il doit être doux à aimer
Comme le prénom
De ceux qui ont souffert d'aimer.
Doux regard glacé
Comme celui des statues
Que la vie a glacé
Ce quatorze février
Rdessauvages 14.02.2008
Commentaires
mais verlaine m\'a peu etre inspiré
probablement rires
:cheer:
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