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Écrit par Momo2Mezy

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Pamphlet

Publication : 1 janvier 2009

Création : 1 janvier 2009

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2498

1994 sera une bonne année

La terre ne sera plus secouée

Par les faibles cris d’affamés

Les militaires finiront de jouer

A la guerre assermentée, légalisée

Chacun aura droit à son bout de jardin

Pour y planter l’arbre de demain

Stop !...

L’Utopie est condamnable de risée 

Chacun envoie curriculum vitae

Et dans l’attente d’une réponse favorable…

Etaler à chaque fois sa vie sur la table

Je m’émeus de tous ces hommes et femmes

Qui vivent impuissants, ce lourd drame 

Le train s’ébranlera comme d’habitude

avec sa nuée de sardines compressées

Le pauvre type restera avec sa solitude

Car les Autres sont bien trop pressés

Et puis il crèvera peut-être à petit feu

Au son d’un masque impénétrable et joyeux 

Et par une nuit trop tranquille, obscure,

Ça éclatera comme un furoncle bien mûr,

Les braves gens immaculés et sans reproches

S’en iront la tête haute et même outrés

Comme des « Pilate », les mains dans les poches

1993 Emmaüs (Faim et soifs des hommes) 

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Écrit par dessauvages

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Pamphlet

Publication : 18 septembre 2008

Création : 18 septembre 2008

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 1933

Vérité

Cherche la vérité

Dis là en sincérité !

Pourquoi as-tu menti ?

Vas-tu vraiment recommencer ?

A délirer te victimiser. 

Fuir la vérité

Auprès de tes amis sur le net

Sont-ils honnêtes ?

Leurs suffit ils ?

 Pour que soit acquis les faits

Qu’ils soient A ta façon racontée.

 De, les lires a crié si haut

Taïaut sur le salop

Qu’il en viendrait bientôt

À ce déplacer pour mater le salop

On les prendrait pour des héros ?

Cela ne manque  pas de poivre

Même s’il vient de Wavre 

Même si huit jours plutôt

J’étais ton héros

Déclamer par toi aux même  zéros

Ceux-ci me déclaraient leurs amis

Sans me demander mon avis

Car par toi aimer suivant tes dits.

Cela en est à pleurer

En vérité. Eux qui  me prenaient pour leurs Hérault

Auprès de Toi leurs petite sœur de cœurs.

Ainsi nommé sur le net

Vous n’êtes pas net

En vérité

Je me sens trahi

Par  ta vérité pas par les faits. 

Je me demande si tout cela vrai

Je ne sais plus où chercher

La vérité.

Tu te contredis aussi par tes écrits

Je me demande où elle est cachée

Mais qu'est-ce que tu fais ?

De la  vérité. 

 Que deviennent vos bébés

Pendant que vous êtes sur le net

A Délirer sur votre vérité

.Pensez vous a les soignés ?

Tant En spiritualité !Quand affectivité.     

Vous spécialiste de la chose

Vous sembliez être clair et net

Sur votre vérité

Dommage

Que cela ne soit que sur Internet

Et non pas dans votre propre foyer

Cela en est à pleurer !

De  vérité. 

Pourquoi m'avoir encore trahie ?

Dans vos commentaires et écrits

Vous faites le pendant

Me voila a avoir frappé femme et enfants 

Je te le redis je ne prénomme pas 

Thierry

Que ce fait soit dis en vérité

Est-ce la jalousie ou la haine ?

Est-ce l'amour ou la peine ?

Ou une partie de ta folie

Pourtant tu faisais partie de ma vie. 

Suis-je en tort ou pas ?

Est-ce que c'est moi qui gâche tout ?

En moi commence à venir le dégoût !

J'ai peur de ce qui arrivera...

pour toi 

Tu déclames ta joie de tes enfants 

De mère au foyer

Seront-il aussi nourrit au clavier

Ou transite ta vérité

Tes chers bébés qui ont déjà franchis

Le  cap de te frapper 

Même celle de ta spiritualité

Cette vérité

Est trahie sur ce clavier.

A un questionnaire sur ta spiritualisé

Tu t’interroge en y mettant

Plein de points d’interrogations

Cela est un cas de suivre tes activités

Devant cet écran

On se croirait a koch lantra

Attention dans tes écrits et dis

Tu contredis

Ta vérité 

Tu déclame vouloir te supprimée

Pour aussitôt qu’ils t’ont supplié d arrêter

Dés qu’ils ont crié taïaut sur le salop

Changer d’idée aussitôt !

Soulage toi dis les vrais faits

Il y’aura miracle

Tu seras soulagé

En vérité.     

Tu me fais passer moins qu’un homme 

Parce que je t’ai envoyé deux com.

Alors que nous venions de nous séparé

Incapable de vivre ta réalité

Adepte et Exaltée du clavier

Ta fantasmagorie qui devient folie

A pourri notre vie

En vérité.

 Même au vingt huit tes dires

M’interdisent d’y retourner

Eux baigné comme moi

Dans la lumière et amours et 

Vérité.

Quels dégâts as tu déjà créé

Que pense-t-il de moi

Je ne le sais en toute Sincérité.

 Vu ta charité et ta foi

Ont il cru en toi !

Doute-t-il des fois de moi

Pourtant ces frères comme moi

Baigne de cette vérité

De celui qui comme moi a été crucifié

Pour lui c’est net

Cela ne s"est pas dit ni écrit

Sur internet

 A cela il a pu en échapper

Ma foi moi je n’ai pas eu se choix

Ni l’envie vu tes amis

De déclamer

En vérité

Sur cette toile d’araignée

Ta vérité. 

Rdessauvages 17 sept 2008 

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Écrit par lonesomemao

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Pamphlet

Publication : 17 octobre 2008

Création : 17 octobre 2008

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 1256

LA VIE N’A PAS DE PRIX  

Certains individus mal intentionnés et finalement subversifs osent s’insurger contre nos décideurs . Selon eux, il est scandaleux d’inonder en centaines de milliards de dollars les banques en difficulté alors qu’il ne suffirait que de trente milliards de ces mêmes dollars chaque année pour contribuer à éradiquer la faim dans le monde. Je suis choqué que ces esprits mal tournés oublient que tout le monde peut faire du profit et qu’en réalité ils ne font que salir l’humanisme du monde libre et civilisé.

En fait , en haut lieu , on croit au bonheur total du paradis et finalement si on laisse mourir de faim un milliard de gens, c’est qu’on les aime . Mais oui, la vie n’a pas de prix et ils iront ainsi plus vite à ce même paradis.

Alors à cette minorité agissante qui n’a rien compris, je dis halte à son mensonge et à son utopie

vendredi 17 octobre 2008

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Écrit par dessauvages

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Pamphlet

Publication : 27 mai 2008

Création : 27 mai 2008

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 1788

Partir n’est pas une question de distances !

Mais une question d’existence.

Partir est un choix

Dans tous les cas.

Suivrais-je leurs pas ?

Prendre la route sans doutes ?

Son chemin du destin !

Quel est le mien ?

Ou es mon chemin.

Dans celui d’Hiram ou je me pâme

celui auprès duquel je crie !

Celui que je vénère mon père

deux chemins de mes frères.

Pour un même père.

Suis-je en rogne ?

Contre ce dogme.

Affaires d’hommes !

En somme.

De niveaux en niveaux

Je me suis élevé auprès de celui

que j ai toujours appelé.

Chemin incompatible

Pour les uns !

Se croisant pour les autres

Je porte l’épée

A la gloire de celui que j’ai appelé.

Ne suis-je pas chevalier !

Enfant de la veuve

Cela est’ il une épreuve.

toujours je me rappelle que j’ai sept ans.

D’où je viens et ou je vais.

Rejoindre celui

que de tous les temps j’attend.

Prendre la route sans doutes ?

celui auprès duquel je crie !

Celui que je vénère mon père

deux chemins de mes frères

qui sont les miens

mon chemin ?

affaires d’hommes en soit.

Je ne ferais pas ce choix

Chaque partie d’eux est en moi

Demain je suivrais ce chemin

Qui m’es dicté par toi.

Ne suis-je pas aussi un enfant de toi !

Dés que je suis né le choix était fait

De l’orient a l’occident

A aucune règles je ne déroge

Changerais- je de loge,

Certainement il est temps.

Prendre la route sans doutes

mon chemin du destin !

Quel est le mien ?

Ceci est mon chemin.

Rdessauvages©27.05.2008