Animaux
L'Oiseau S'envole.....
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- Écrit par Tom
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L'oiseau s'envole, il est fait pour cela...
Ses ailes battent et claquent dans l'air ingrat,
Ses yeux fixent le Soleil qui brûle la Toundra.
L'oiseau s'envole, il est fait pour cela !
Le vent le porte et ne le voit pas,
Il cherche sa route, loin de ses pas.
Le bec en pointe, le coeur démolis,
Il force, s'éreinte, jusqu'à l'embolie.
Rien ne le retiens et c'est si dur de partir,
Une enclume se glisse dans ses plume,
C'est son regard son sourire,
Le feu éteint sans cesses se rallume.
Il arrache son corps au poids, défis les éléments,
Brasse et chasse sa voix, machinalement.
Il part vers de nouveaux cieux, mais elle est là,
L'oiseau s'envole, il est fait pour cela...
Changement de régime
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- Écrit par Mano
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Le grand rat gras gris
Etait en soucis.
Le poids de son foie
Le tenait en émoi.
Ce roi plus obèse que balèze,
Etait loin d’être à son aise.
Son sinistre ministre,
Loin d’en être triste,
Conduisait sans faux pas
Le gros roi à son trépas !
La reine, elle n’était pas sereine
Envoyant cette bedaine envahir son lit !
Elle décida du jour au lendemain
De prendre les choses en mains.
Les souris retrouvèrent le sourire
Et ne manquèrent pas d’applaudir
Quand le gras du roi s’enfuit
Grâce à un sévère régime de fruit.
La reine obligea le ministre scélérat
A prendre le poids et le gras du roi.
Dame escargot
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- Écrit par Siorg
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Avançant dans la nuit d’un pas certain
J’ai entendu venant de pas très loin
Un petit craquement ma foi bien croquant
Mais ceci ne me fit réduire l’allure pour autant
Car pressé j’étais et ne pouvais m’attarder
Dame escargot avançant sans trop se soucier
Reçu d’un seul coup le poids d’une semelle
Qui fit que plus jamais on entendit parler d’elle
Ma Copine Margot
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Ma Copine Margot
Lorsque j’étais enfant, j’avais une copine,
Que j’aimais tendrement, car nous étions intimes.
Elle était très jolie, dans ses petits sabots,Toute habillée de gris, un velours sur le dos. Nous partions tous les deux, faire des randonnées.Souvent nous empruntions de tous petits sentiers.Elle était courageuse, marchant toujours devant,Un peu capricieuse, tout dépendait du temps. Cela ne dura pas, le maître avait parlé,Un jour il décida de nous faire travailler.Partant de bon matin, par n’importe quel temps,Nous suivions le chemin, sous la pluie dans le vent. Il nous fallait marcher, fort loin de la maison,Toute la matinée, le chemin était long.Quand l’hiver était rude le mistral nous glaçait,Sous notre couverture, malgré tout il passait. Souvent l’après midi, nous travaillions aux champs,Besognant sans répit, nous allions doucement.Il fallait travailler, à cette époque là,Le maître nous aima, justement pour cela. Le temps passa bien vite, et nous avons grandi,Aujourd’hui je suis triste, j’ai perdu mon amie.On nous a séparés, elle est partie un jour,Dans mon cœur j’ai gardé, un bel et tendre amour.
Elle était si jolie, dans ses petits sabots,Toute habillée de gris, une croix sur son dos.C’était une copine, si pleine de tendresse,Ah qu’elle était jolie, Margot ma chère Anesse.
(Poème vécu) Dellasta Marcel - Fuveau 2002
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Tétanisante inertie
28.05.2020 12:18procrastination ? -
Larme...
28.05.2020 12:17je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-) -
Larme...
28.05.2020 12:15bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-) -
Haïku doré
26.09.2012 16:01Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ... -
Lettre par Aurore Dupin
23.09.2012 10:27aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...