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Écrit par pasblanc

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : vers libre

Publication : 22 avril 2009

Création : 22 avril 2009

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2209

          REINE DU JARDIN 

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Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : vers libre

Publication : 24 février 2009

Création : 24 février 2009

Mis à jour : 16 octobre 2015

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Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : vers libre

Publication : 12 mars 2009

Création : 12 mars 2009

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 1730

Mon cœur esseulé pleure,

il pleure pour tous les hommes qui ne le font pas,

pour tous les hommes qui tuent sans émotions,

pour toutes les familles endeuillés,

pour tous les couples qui se séparent,

pour toutes les guerres qui emportent des millions de vies,

pour battre à l'unisson avec l'ame soeur!

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Écrit par Michel-Paul

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : vers libre

Publication : 24 novembre 2008

Création : 24 novembre 2008

Mis à jour : 6 novembre 2015

Affichages : 2820

Merci à vous poètes,
que vive la poésie, les Lettres
que s'épanouisse la beauté,
que s'énoncent toutes phrases
en vos algèbres de la pensée
que coulent les larmes dans la plume,
que votre sang s'écrive,
et que s'inscrivent
vos tempêtes et les joies
qu'en votre livre vous signerez
Que le fruit encore vert des terribles enfances
avec leurs fleurs soient jetés
dans l'assommoir
et pressées les grappes malodorantes
des vents mauvais qui nous emportent
Cela donnera de la sombre amertume
ce jus du réel dans l'encrier
L'encre s'y épaissit comme l'écume
sur le rivage et cristallise
noir sur blanc dans les pages froissées
Et si le vent se lève et si le vent
le veut, les mots perdus
poèmes noirs poèmes blancs
s'envoleront comme des cerf-volants  
tachés de couleurs quand même
dans les ciels effilochés
Ils seront des cris que pousse un messager
dans la corne du bélier
pour signifier le sens et le temps
que le temps est venu et la fin arrivée
" Le ciel se retira comme un livre qu'on roule "
voilà le tremblement final
quand la terre perdra la boule
Alors se répandra ce son des prophètes
comme lumière qui ruisselle d'un phare
comme gorge qui saigne à flots
On l'entendra ce cri
aussi fort que la voix d'un cor à l’hallali  :
les guerres à charniers, les morts
par millions et par milliards,
les visions les songes les cauchemars
les vagues furieuses, les grands orages
les fosses tressautantes aux cadavres enterrés vivants
tous ces dégâts faits
jour après jour à la Bonté
que l'on écorche vive, ces viols faits
aux beautés qu'on assassine, la justice étranglée
tout ce que la mort et les furies ont dévasté
Vous, nous, les poètes
il faudra bien que vous le racontiez
en écrivant la poésie tout en écrivant l'Histoire la vraie
Sinon il reste encore beaucoup à dire
sur le monde unique de chaque cœur
et leurs désastres innombrables,
les tsunamis des passions,
les chaleurs de l'amour, les inondations,
toutes les vies, destins, biographies, révolutions,
victimes et victoires, les libérations,
et les hymnes des foules
ces chants de meutes qui signent les dictatures
et toute les colères des cœurs méchants
que l'on croyait bons à défaut d'être purs
Tous les récits, toutes les confessions
pourront encore se lire, sinon
ne resterait-il plus qu'à réveiller
le Silence et l'entendre nous condamner
et nous saurions qu'il a raison.

Michel-Paul-MarieL