Vraiment pas dans la liste

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Le beau de Provence

(Les baux de Provence)

A Philippe Maillard

Ce jour réception de ta carte 17 mai 2006

Ta carte m'a montré ta réalité
Tu es prés d'un village dévasté par le passé
Toi tu es fortifié par ta foi.


Ta famille n'est pas en miettes
Ta douce sœur
Malgré son prénom non plus.


Vous habitez prés de baux
Normal vous l'êtes
Telles les fleurs de votre jardin
Entrevu de ta fenêtre.


Choyer comme un bébé
A nous aussi ton absence
Commence à peser
Tel tu l'écris dans ton courrier !


Ma lettre que tu décris
Plus importante que le soleil
Rayonne de notre amour pour toi.
Te voila à l'ouvrage.
Le dimanche dans la petite église
Près de baux.



Nous somme heureux
Que tu partage avec eux
Le bonheur que tu trouve au 28
Même si ceux du 28 te manque.


Te voila en train de somnoler
Dans le pays des cigales
Ce pays cher au cœur de Pagnol
A rêver de ton retour


A Lille rue de Wattignies !
Point de cigale ici
Mais cela t'es égal
A nous aussi.


Tu médite mais ton livre
N'avance pas Dis tu
Écrit donc tes pensées
Et comme un petit lu
Tout sera écrit dessus.


Nous voila a t'écrire
Nous qui ne somment pas comme toi
Auteur de livre
A poétiser.
Sache que l'amour de Dieu
Et de toi-même.


Nous a donné matière à méditer
Que ce petit poème
Fait avec amour de toi
Te trouve en joie
En santé.


Chacun de nous deux
A travailler sur cette lettre.
Nous avons eu cette pensée
Afin de te remercié
De ta lettre d'amitié



Brigitte et Robert
17 mai 2006
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Condette 2006


Nous y voila toi !
En quête de moi ?
Moi pour une fois à l'écoute de toi
Face à face
Dans ce silence du parc.

Silence, colère, haine de moi pour toi !!
Je dis.
Amour patience réconfort
De toi
Ont me dit !
Nous sommes la
Face à face.

Le silence est le silence
Cela ne tiens qu'a un fil.
Phil me murmure accepte !
Que l'ont puisse t'aimer
Laisse-toi aimer.
Je suis trop blessé.

Accepte d 'être aimer ?
Mais de qui ?
A part bibie !
Ce ne sont que des mots
Je n'ai que des maux
Tu n'as pas
Phil le ton haut
Je n'ai que le silence
De mes maux.

Brave Gisèle
Ta joie, ta foi
Instantanée ton amitié de moi
Me rappelle ma peine
De celle que j'aime
Qui a ton âge
En amour de moi
Est enfermée
A tout jamais.

Petite Cécile
Qui a moi c'est confié
Avec qui j'ai commencé à me libérer
Me dit merci
De cet échange
Tu me confie
Je suis comme toi une révoltée. !

Sais-tu que ma nièce qui comme toi
Porte ton prénom
Est ma désespérance
Tu m'as dit tes mots
Je t'ais confié mes maux
Mes maux sortent
Merci
De ce don de ton
Espérance.

Rachid !!
Tu t'es écarté, isolé
Tes souffrances tu les as exprimées
Souffrances du corps
De l'âme
Que tu puis je faire pour toi ?
Comment t'approcher ?
Trouver l'envie en toi
De me parler.
Moi de m'approcher de toi. !

Cela semble idiot
Je n'ai comme toi que des maux
Malgré nos apparences
Nous sommes en souffrances
Je sais partager
Je veillerais que tu es toujours à fumer
Il nous fallait
Cheminer chacun de son coté
Nous retrouver pour fumer
Nous avouer que nous étions déjà
Depuis longtemps en amitié

Tu la exprimer
Dans ce rond
Au parc par deux fois
Tu as dit le bonheur que
J'y sois
Par deux fois tu as atteint mon cœur.

J'ai reçu de tous,
J'ai reçu de toi.
J'ai donné à tous,
J'ai encore reçu de toi.
J'ai accepté que tu sois la
Au plus profond de moi
La d'où partent mes maux
Mes mots de haine de toi
Trois jours à réfléchir
A fumer
Désolé Marie Paule !
Cela m'a été nécessaire
Ne crois pas en un irrespect de toi
Partout sans cesse
Il faut que cela cesse

De l'amour des hommes !
J'en ais
Même si je ne le dis pas
Ont me dit froid parfois
Tendre d'autres fois
Ne m'a t'on pas dit
Tendre comme un chamallo
Dans un bloc de béton
Je dois m'armer pour me défendre
De moi. De toi !

J'ai nié, pesté, ragé, dénoncé, insulté
Vomit ce dieu dont vous me parler
Ecrit contre lui
Si je n'avais pas fait cela
S'il n'avait pas accepté
Ce don de moi
Ce dieu tant décrié
Je n'aurais pas résisté !

Je ne ferais plus rien contre ce corps
Tu ne l'a pas accepté
Ce n'était pas moi
Coquin de toi !
Me tuer au pistolet tu n'as pas accepté
Tu m'as fait donner un fusil
Et de quoi le charger
Par cette tante qui me disais m'aimer
En lui faisant dire
Tu es cet enfant que je n ais pas
Cela deux jours après.
Coquin de toi

J'e n'es pas vu t'a présence
Tous ces mois auprès de moi
Cela je ne l'es pas encor dit
Cela se voit
Pourtant tu es la
Tout prés de moi a mes cotes.
Tu dors a coté de moi
Dans le cœur de bibie
Qui bat pour moi
Tu attends que je voie que tu es en moi
Je le sais je le sens
Petit bout de femme
Quelle joie dans ces yeux
De ce baptême reçu.
Qui m'a inondé
Coquin de toi
Que ma' tu fais écrire la
Ce texte que je ne comprenais pas.


Désespérance transformé en espérance
De se désamour transformer
En concentré de toi
Je ne sais pas participer à vos jeux
A votre joie
Ce combat entre moi et moi
Trop difficile
Je me referme une fois de plus
Suis-je différent ?
Je m'isole une fois de plus.
Vos jeux à thèmes
Vous remplissent de joie
Les miens sont dans l'arène ou je me bats.


Quadrature tu cercle
Nous voilas en rond
Face à face
toi contre moi
Moi contre moi
Pitié pas de notre père
Mes frères et moi avons enterré Françoise
Ceux-ci m'ont chargé de te glorifié
Afin de l'enterré avec un peu de foi
Qu'ils n'ont pas
Mon cœur c'est brise ce jours la.
Au nom d'un notre père. !!

Nous voilas en rond
Face à face toi contre moi
Face à vous
Face à toi
A chaque bonheur que je reçois !
J'attends la saloperie qui va
Aussitôt venir.
C'est comme cela
Dans ce rond,
Comment exprimer ce changement ?
Qui à l' instant ce passe en moi
Cela vient du plus profond de moi
Que dire ?comment dire !
Je ne parle qu'à toi.
Les larmes de joie me viennent
Pour la première fois.


Sur le sable en amitié
Ont me dit
Tu parle de trop
Que de toi
Même à la filature tu te prends pour le roi
C'est comme cela que je le reçois cela est dur
Tu accapare benoit quel coup bat
C'est la vie
Voila la saloperie qui, a suivi
Normal
Cela a était toujours comme ca
Jusque la !!

Ne sais tu pas ami ?
Que je te noie de mots
Cela me permet de me soigner
De mes maux
Que faire tous tourne en moi ?
Ne suis-je pas armer pour me défendre
Oh que si !!
J'ai l'esprit et le corps vif
Les deux biens armés
Dois-je me faire pardonner ?
De ce que je suis.


Antithèse de ma philosophie
Qui me dit
Je suis ce que je suis
L'œil de Caïn était dans la tombe
Pas ton œil
Ami mon frère
Dans le mien dans mon regard
Il fallait comme Phil m'a demander est tu confirmé ?
Attesté !
Je le suis frère
Est tu mon tourment ?
Non ! Même pas !
Un simple événement
Balayé négligemment
Dans ce flot de tourments

Voici ma dette
Voici mon condette
Que toi ami ?
Tu liras pour moi !
Pour l'amour de moi
Pour mon amour de toi
Pour notre amour de lui
Pas par vengeance
Pour ma pénitence
Dieu est passé par toi
Aussi Pour moi
Je suis apaisé !

Rdessauvages©5 juin 2006
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Une journée sans toi

Ça ne me va pas...

Une heure sans toi,

Non !

Ça ne me va toujours pas...

Une minute sans toi,

En aucun cas!

Une seconde sans penser à toi,

Ça n'existe pas... pour moi

Le temps m'importe peu

Quand je suis avec toi,

Je suis bien dans tes bras.

Le seul regret que j'ai,

C'est d'avoir mis tout ce temps

Pour te rencontrer...

Que je sois avec toi maintenant,

Depuis

Je ne fais plus attention au temps.

Je t'aime et je t'aimerai,

Et cela pour l'éternité...

Tu es celle que j'ai

Toujours espéré

Rdessauvages© 04.08.2006
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Bonheur


Bonheur

Bonheur douce espérance des uns
Désespérance des autres
Tu m'as tellement manqué
Que je n'ai plus la force d'espérer.

De toi je n'ai qu'entendu parler
Jamais approché,
Toujours cherché
Depuis l'époque
Ou j'ai commencé à penser

D'autres t'on approché
Capté, Maitrisé
Jouis de toi.

En moi je t'ai cherché
Même pas enfoui en moi
Pas de passé avec toi
Ni de présent a l'instant
Ou je compose ce texte.

Sans aucun prétexte
Tu te méfie, me fuit
M'approche, m'aborde
Et saborde tous rayons vers moi
Me couvre d'un pale hayon de tristesse

Plus de temps pour le passé
Ni le présent
Que va devenir mon avenir
Sans Bonheur ?
Pensées d'un passé Oublié
A cet heure ou
Je t'approche avec honneur
Toi bonheur tant espéré

R.Dessauvages©08.07.2006
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Les mots fragiles

Les mots sont si fragiles
Sur tes lèvres d'argile
L'encre à ses boucles brunes
M'est unique fortune

Une strophe, un quatrain
Tel le galbe d'un sein
Le ciel qu'elle dessine
A mon âme s'incline

Quand ses lignes se cambrent
Je revis au cœur d'Ambre
Au plus clair de sa plume
Je danse sur la lune

Tous ces morceaux de verre
Ses souffrances d'hier
Sont des perles de brume
Que mon amour consume

Sous la voûte étoilée
J'ai appris ta beauté
Elle souffle les vers
En bulles de lumière

Rdessauvages©04.08.2006
  • Tétanisante inertie
    28.05.2020 12:18
    procrastination ?
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:17
    je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-)
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:15
    bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-)
     
  • Haïku doré
    26.09.2012 16:01
    Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ...
     
  • Lettre par Aurore Dupin
    23.09.2012 10:27
    aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...