Vraiment pas dans la liste
j'ai ecris
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J'ai écris
J'ai écris les pages de ma vie
Celle qui me détruit
Je couche ces feuilles une a une
Comme un mille feuilles sous ma plume
Milliers de morceaux enfouis
Poussières de passé,
Moments haut de ma vie
Qui Ne cessent de me rappeler.
Les coups bas de ce que je vis
Ne plus revenir en arrière
Mettre des barrières
Croire maintenant
Que je dois cesser d'aimer autant
Occulté ce que fut ma vie
Par ces deux état oublié Etre aimé
Vider ces sens qui circulent dans mon cœur
Qui meurt peiné avant son heure
Vivre son humanité dans ce monde momifié
Qui a osé galvauder ce mot
Prôné par ceux qui m'ont blessé
Crié comme un herault
Etre aimé
Rdessauvages© 2007
J'ai écris les pages de ma vie
Celle qui me détruit
Je couche ces feuilles une a une
Comme un mille feuilles sous ma plume
Milliers de morceaux enfouis
Poussières de passé,
Moments haut de ma vie
Qui Ne cessent de me rappeler.
Les coups bas de ce que je vis
Ne plus revenir en arrière
Mettre des barrières
Croire maintenant
Que je dois cesser d'aimer autant
Occulté ce que fut ma vie
Par ces deux état oublié Etre aimé
Vider ces sens qui circulent dans mon cœur
Qui meurt peiné avant son heure
Vivre son humanité dans ce monde momifié
Qui a osé galvauder ce mot
Prôné par ceux qui m'ont blessé
Crié comme un herault
Etre aimé
Rdessauvages© 2007
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un jour je partirais
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Un jour, je partirai...
Un jour, je partirai...
Parce que j'ai trop mal d'aimer...
Repenser à tout cela.
A toi, à moi. A nous
A ce nous qui n'existe plus...
Sans cela nous sommes perdu...
Souviens toi, comme moi
De ta main dans la mienne.
Ce 23 aout où tu fus mienne...
Enlacée dans mes bras...
A apprendre à dire je t'aime.
baisers... Si sucrés...
Nos corps s'enlaçant
Lentement...aimé
Comment as-tu pus tout rayer...
Ces rêves balayés...
Que fait tu de notre communauté
Ne reste t'il rien
Voila le destin que tu crois tien.
Imposant ce choix aux tiens
Comme au miens,
Vouloir Faire admettre que ce choix
Autre, soit le notre. Pourquoi ?
Tu dis que tu allais m'oublier...
Je dis que je n y' réussirais pas
A oublier notre passé
Je n'aime pas comme cela.
Demain je ne serai plus là...
Cela est ton choix
Ton droit ton chez toi
Pourquoi ?
Rdessauvages© 2007
Un jour, je partirai...
Parce que j'ai trop mal d'aimer...
Repenser à tout cela.
A toi, à moi. A nous
A ce nous qui n'existe plus...
Sans cela nous sommes perdu...
Souviens toi, comme moi
De ta main dans la mienne.
Ce 23 aout où tu fus mienne...
Enlacée dans mes bras...
A apprendre à dire je t'aime.
baisers... Si sucrés...
Nos corps s'enlaçant
Lentement...aimé
Comment as-tu pus tout rayer...
Ces rêves balayés...
Que fait tu de notre communauté
Ne reste t'il rien
Voila le destin que tu crois tien.
Imposant ce choix aux tiens
Comme au miens,
Vouloir Faire admettre que ce choix
Autre, soit le notre. Pourquoi ?
Tu dis que tu allais m'oublier...
Je dis que je n y' réussirais pas
A oublier notre passé
Je n'aime pas comme cela.
Demain je ne serai plus là...
Cela est ton choix
Ton droit ton chez toi
Pourquoi ?
Rdessauvages© 2007
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traitresse
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Traîtresse
Tu parais sous tes aspects
Si Douce et innocente créature.
Sensible au regard des autres
Détruite par l'immoralité insensée
De ceux qui t'ont blessée
Tu nous exaltes tes blessures
Ton coeur déchiré nous interpelle.
Tes larmes d'acide coulent sur ta peau
Te rongeant sans remord
Tu disparais d'un monde d'insouciance
Pour devenir mauvaise Femme.
Ta pseudo colère s'apprivoise et se terre
Maniant la douceur et la trahison
Tu sais faire de chaque âme tienne
Meurtrissant sans répits la candeur
De ceux qui parlent avec leurs cœurs
Pourrissant la féerie de l'enfance.
Tu feins la bonté, de respirer le bonheur'
Sombre traîtresse, impie de dignité
La malfaisance se lit dans tes yeux
Ton sourire joyeux imitant.
Le bonheur provocateur te masque
Te protégeant de tes actes passés
Et a venir
Soignant le venin dans tes veines
Nous confiant tes peines
Soulageant tes plaies cachées, ta joie brisée
Tes souffrances déclarées
Tes valeurs perfides.
N'apportent que souffrance et désarroi
Ton esprit excite la curiosité
Ecoeure les songes profonds
Aguichante tu attires hommes et femmes
Les piégeant sans confusion
Désarmée tu nous blesse
En laissant plus d'un en détresse
Et te repentis pour recommencer
Sortant d'un réveil impur
Où le hasard te guide
Mêlant ton odeur décharnée
A tes sens corrompus
Formant un macabre dessin
Illusion de poupée ravissante
Au coeur exalté et creux
Tu feins l'honnêté
Tu ne laisses derrière toi que des êtres brisés
Mots d'amour oublier tronquer
Sans vérités par de triste individus
Si Douce et innocente créature.
Sensible au regard des autres
Promesse falsifiée
Te voila à ton tour piégée
N' es ce pas la ton dut
Te voila à ton tour brisée
Le cœur n'est pas un jouet
Voila enfin un peu de moralité
Rdessauvages©31 août 2007
Tu parais sous tes aspects
Si Douce et innocente créature.
Sensible au regard des autres
Détruite par l'immoralité insensée
De ceux qui t'ont blessée
Tu nous exaltes tes blessures
Ton coeur déchiré nous interpelle.
Tes larmes d'acide coulent sur ta peau
Te rongeant sans remord
Tu disparais d'un monde d'insouciance
Pour devenir mauvaise Femme.
Ta pseudo colère s'apprivoise et se terre
Maniant la douceur et la trahison
Tu sais faire de chaque âme tienne
Meurtrissant sans répits la candeur
De ceux qui parlent avec leurs cœurs
Pourrissant la féerie de l'enfance.
Tu feins la bonté, de respirer le bonheur'
Sombre traîtresse, impie de dignité
La malfaisance se lit dans tes yeux
Ton sourire joyeux imitant.
Le bonheur provocateur te masque
Te protégeant de tes actes passés
Et a venir
Soignant le venin dans tes veines
Nous confiant tes peines
Soulageant tes plaies cachées, ta joie brisée
Tes souffrances déclarées
Tes valeurs perfides.
N'apportent que souffrance et désarroi
Ton esprit excite la curiosité
Ecoeure les songes profonds
Aguichante tu attires hommes et femmes
Les piégeant sans confusion
Désarmée tu nous blesse
En laissant plus d'un en détresse
Et te repentis pour recommencer
Sortant d'un réveil impur
Où le hasard te guide
Mêlant ton odeur décharnée
A tes sens corrompus
Formant un macabre dessin
Illusion de poupée ravissante
Au coeur exalté et creux
Tu feins l'honnêté
Tu ne laisses derrière toi que des êtres brisés
Mots d'amour oublier tronquer
Sans vérités par de triste individus
Si Douce et innocente créature.
Sensible au regard des autres
Promesse falsifiée
Te voila à ton tour piégée
N' es ce pas la ton dut
Te voila à ton tour brisée
Le cœur n'est pas un jouet
Voila enfin un peu de moralité
Rdessauvages©31 août 2007
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je suis tout en rondeurs
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Je suis tout en rondeurs
Avec mes rondeurs
J'en surprend plusieurs
Je me déhanche en toute splendeur
Avec mes yeux rêveurs,
Je te charmerais à toutes les heures
Avec mes formes
Je me transformerais en douceur
En une hydrangée de couleurs.
Avec un doux parfum ensorceleur
Je volerais ton cœur
Avec mes rondeurs
Je te ferais voir toutes les couleurs
De ces gros bonheurs.
Comme un cortège de fleurs
Je te ferais vivre le bonheur
Quand tu seras en pleurs
De ces gros pleurs
Qui te fendent le coeur
Je saurais te donner mon cœur
Pour te faire oublier ton malheur.
Je serais ton unique porte bonheur
Avec mes rondeurs
Je serais de bonne humeur
Pour toi mon cœur
Il n'est pas trop que je sois gros
Il faut bien que cœur soit enveloppé
D'un corps que te semble gros
Bien emballé afin d'éviter qu'il soit débordé
Et s occupe de ton bonheur
De ce gros bonheur et qu'il te fasse honneur
voila ma these , ainsi je suis à l'aise
Je volerais ton cœur
Avec mes rondeurs
Rdessauvages©mardi 24 juillet 2005
Avec mes rondeurs
J'en surprend plusieurs
Je me déhanche en toute splendeur
Avec mes yeux rêveurs,
Je te charmerais à toutes les heures
Avec mes formes
Je me transformerais en douceur
En une hydrangée de couleurs.
Avec un doux parfum ensorceleur
Je volerais ton cœur
Avec mes rondeurs
Je te ferais voir toutes les couleurs
De ces gros bonheurs.
Comme un cortège de fleurs
Je te ferais vivre le bonheur
Quand tu seras en pleurs
De ces gros pleurs
Qui te fendent le coeur
Je saurais te donner mon cœur
Pour te faire oublier ton malheur.
Je serais ton unique porte bonheur
Avec mes rondeurs
Je serais de bonne humeur
Pour toi mon cœur
Il n'est pas trop que je sois gros
Il faut bien que cœur soit enveloppé
D'un corps que te semble gros
Bien emballé afin d'éviter qu'il soit débordé
Et s occupe de ton bonheur
De ce gros bonheur et qu'il te fasse honneur
voila ma these , ainsi je suis à l'aise
Je volerais ton cœur
Avec mes rondeurs
Rdessauvages©mardi 24 juillet 2005
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petite fleur
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Petite fleur
Petite fleur, myriade de couleur
Petite fleur aux milles senteurs
Tu n'exaltes pas ta splendeur
Cueillie a la rosée
A peine formée
Transformée par un jardinier
Au milieu de tes soeurs
En cœur, toi douceur
Remise à un palefrenier
Destiné a un prince né
Voila ta beauté noyée dans la couleur
A en perdre ta douceur
Ton originalité.
Je t ai pronis
De jardiner
De tailler ce que tu as planter par le passé
Me laissera tu
Cultivé ce qui en toi me plait
Ton cœur, en douceur
Laisse monter en toi ces odeurs de bonheurs
Que mon cœur qui commence a se réveiller
Comme une liane vient le cerner
Laissera tu te butiner
Comme une abeille
Et tu verras comme la merveille de l'amour
Petite fleur, myriade de couleur
Petite fleur aux milles senteurs
Au milieu de tes sœurs
Tu sera différencier
Ton originalité
Sera déclamer
Par les mots du verbe aimer
Que mon cœur désire te murmurer
Avant que tes feuilles ne soient tombées
Car j ai décidé de t'enraciner
Dans le bouquet de l amour arrivé.
Quiéry la motte 4 sept 2007
Petite fleur, myriade de couleur
Petite fleur aux milles senteurs
Tu n'exaltes pas ta splendeur
Cueillie a la rosée
A peine formée
Transformée par un jardinier
Au milieu de tes soeurs
En cœur, toi douceur
Remise à un palefrenier
Destiné a un prince né
Voila ta beauté noyée dans la couleur
A en perdre ta douceur
Ton originalité.
Je t ai pronis
De jardiner
De tailler ce que tu as planter par le passé
Me laissera tu
Cultivé ce qui en toi me plait
Ton cœur, en douceur
Laisse monter en toi ces odeurs de bonheurs
Que mon cœur qui commence a se réveiller
Comme une liane vient le cerner
Laissera tu te butiner
Comme une abeille
Et tu verras comme la merveille de l'amour
Petite fleur, myriade de couleur
Petite fleur aux milles senteurs
Au milieu de tes sœurs
Tu sera différencier
Ton originalité
Sera déclamer
Par les mots du verbe aimer
Que mon cœur désire te murmurer
Avant que tes feuilles ne soient tombées
Car j ai décidé de t'enraciner
Dans le bouquet de l amour arrivé.
Quiéry la motte 4 sept 2007
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Tétanisante inertie
28.05.2020 12:18procrastination ? -
Larme...
28.05.2020 12:17je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-) -
Larme...
28.05.2020 12:15bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-) -
Haïku doré
26.09.2012 16:01Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ... -
Lettre par Aurore Dupin
23.09.2012 10:27aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...