Vraiment pas dans la liste

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Nous marchions dans un chemin.

Je marchais dans une sombre nuit

Toi Vers la lumière et ton destin. !

Mon ami, mon frère donne moi la main.

 

donne moi la main.

!il ne faut plus que je fuis.

J'ai si peur Du noir ,de ces périls

Toi sur le haut de ce terril d’evin.

Aide moi a atteindre le divin

 

Aide moi a plongé dans son cœur

pour que Je puisse allumé la bougie de mon cœur.

pour voir la lumière. d'amour de son regard

de peur que je ne m’égare.

 

 

Mon ami mon frère donne moi la main

donne moi la main. !

que mon cœur

petit à petit reflète la beauté de l'amour !

que tu as pour lu

iavançons main dans la main.

j’ai à moitié traversé les enfers

guide moi allons aux pays promis

.Que je quitte ces enfers.

 

 

Mon ami mon frère donne moi la main !

Guide moi

Sur le chemin

Du bonheur celui de notre amour de lui

écoute la voix de Mon cœur

écoute celui qui te protège d'amour

pour la vie écoute comme

Je l'aime .depuis toujours.

 

 

Mon ami mon frère donne moi la main

donne moi la main. !

protége moi

de la nuit et la phobie de mes peurs

guide moi dans la lumière de son cœur

avec ton regard d'amour de lui

Mon ami mon frère donne moi la main

donne moi la main. !

 

rdessauvages©21 mai 2008.. !

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Sur ces terres où retombent enfin les poussières,
Qui se souviendra jamais des ces grands guerriers ?
Ces héros bardés d’acier à la longue crinière,
Qui donnaient les coups de lame sans se faire prier.

Qui se souviendra jamais des ces grands guerriers ?
Leurs os aujourd’hui dispersés par les vents,
Qui donnaient les coups de lame sans se faire prier,
Vers leurs ennemis ils courraient au devant.

Leurs os aujourd’hui dispersés par les vents,
Comme poussières légères d’un bien amer passé,
Vers leurs ennemis ils courraient au devant
Tailladant sans répit, semant les trépassés.

Comme poussières légères d’un bien amer passé,
Qui retombent sur les cendres du présent,
Tailladant sans répit, semant les trépassés,
Achevant sans pitié aucune les agonisants.

Qui retombent sur les cendres du présent,
Sur lesquelles poussent les fleurs du mal.
Achevant sans aucune pitié les agonisants,
Tuant sans distinction homme ou animal.

Sur lesquelles poussent les fleurs du mal,
Sur cette argile stérile que même la pluie évite.
Tuant sans distinction homme ou animal,
Sans cesse ces héros repoussaient leurs limites.

Sur cette argile stérile que même la pluie évite,
Où sont les chefs et leurs beaux lieutenants ?
Sans cesse ces héros repoussaient leurs limites,
Défaisant les empires, parfois les soutenant.

Où sont les chefs et leurs beaux lieutenants ?
Sur ces terres brûlées par un trop chaud soleil.
Défaisant les empires, parfois les soutenant,
Dans ces combats sanglants faisant des merveilles.

Sur ces terres brûlées par un trop chaud soleil,
Fantômes du passé à l’ombre de leurs mythes,
Dans ces combats sanglants faisant des merveilles,
Ils puisaient leurs forces dans de mystérieux rites.

Fantômes du passé à l’ombre de leurs mythes,
Sans qu’en sortent de bien grandes merveilles,
Ils puisaient leurs forces dans de mystérieux rites.
Ils allaient pataugeant dans le sang vermeil.

Sans qu’en sortent de bien grandes merveilles,
Las, les siècles trépassent sans trêve ni fin.
Ils allaient pataugeant dans le sang vermeil,
Sans que cessent les combats, que la paix règne enfin.

Las les siècles trépassent sans trêve ni fin,
Sans trop chercher on met la guerre en avant,
Sans que cessent les combats, que la paix règne enfin.
Tout, toujours, finit par redevenir comme avant
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Savoir dire nenni à l’insolence aveugle.

Cheminer sa vie à l’image d’une sérénité.

Être apaisant dans un souffle harmonieux.

Tenter un sourire en des pas légers.

Prendre décision dans une maturité établie.

Ne pas batifoler vers des propos disgracieux.

Se tenir droit avec justesse et esprit accompli.

Se garder une ligne de conduite avec sagesse.

Marcher en des idées propres à sa décision.

Vivre et comprendre son cheminement personnel.

Tituber aucunement vers des commentaires douteux.

Avancer sans regarder en arrière, être solide.

Se garnir d’un jugement avec des mots valeureux.

La volonté de parcourir les méandres offensants.

La fermeté d’un caractère à résoudre les problèmes.

Flotter gracieusement, le sourire imagé.

S’émanciper à tout jamais dans un ordre discret.La détermination de vouloir irrémédiablement.

L’indocilité face aux agissements de l’hypocrisie.

La dissidence vers un bonheur retrouvé.

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J’écris

 

 

j’écris pour me battre

contre la fatigue.

l’oublie ,l’ennuie de la vie.

Comme un marin qui navigue

pour m’endormir le soir dans mon lit


pour rêver, espérer de nuit ,de jour

Mon cœur est chaud comme un four.


pas d’angoisse d’une feuille blanche

J’ai tant de souffrances.


répondre à une question qui m’est posée


même quand je n’es rien à me reprocher .

pour vider mon trop plein d’amour de tristesses ,

j’ai le cœur détresse.


dans mes mots me déclarer,

parfois me dévoiler.

parce que je veut parler

et que ’j écris mieux que mes dits.

quand il est temps de partir


quand les années me marquent l’esprit


pour essayer de rester en vie .


pour ne pas pleurer,

pour me consoler,

écrire contre la peur d’être oublié


Ecrire aussi, en ami, écrire à la solitude.


Ecrire et m’inventer un univers


me donner une nouvelle chance


pour mon amour,

mes joies, mes sentiments


me donner ce que je ne peux avoir,

ce que ne peut pas être

Ecrire à oublier les heures .
mes malheurs

ma joie de toi ma foi

qui se renouvelle en moi.

rdessauvages©19 mai 2008

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Il était minuit passé,

Et une idée me hantait.

Je n'arrivais pas a m'endormir,

Animée par cette envie d'écrire.

Je pris enfin mon stylo,

Et écrivis quelques mots.

Mon inspiration grandit,

Et mes souvenirs aussi.

Je me rappelais nos moments passés,

Et ma plume traduisait toutes mes pensées.

Doucement le rythme ralentit,

Sans avoir fini je m'assoupis.

Les yeux, le stylo à la main,

Je rêve d'un futur lointain.

Où mon envie d'écrire recommencerait

Et où peut être, une dernière fois, j'écrirais

  • Tétanisante inertie
    28.05.2020 12:18
    procrastination ?
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:17
    je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-)
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:15
    bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-)
     
  • Haïku doré
    26.09.2012 16:01
    Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ...
     
  • Lettre par Aurore Dupin
    23.09.2012 10:27
    aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...